La maladie : un signal à décoder (www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Thérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – fév. 2010)

Un problème sans solution est un problème mal posé.

[ Albert Einstein ]


La maladie est ce qui est mal dit, le mal exprimé par un symptôme. Ce symptôme peut être physique, génétique, organique, fonctionnel ou comportemental.
L’on parle de « bio-décodage » parce que cela se fonde sur la biologie, la fonction de l’organe touché par le symptôme ; la « fonction » dans notre fonctionnement aujourd’hui, mais également dans l’organisation du vivant.
L’apparition de chaque perfectionnement dans notre corps répond à un besoin bien précis pour garantir la vie de l’espèce en fonction des défis qu’elle a (eus) à relever. Et ce, depuis les origines de la vie sur terre. N’oublions pas que tout ce qui vit a des ancêtres bactériens qui vivaient il y a près de quatre milliards d’années, dans l’océan marécageux des âges primitifs !

Ce qui ne s’exprime pas s’imprime

A l’origine d’une maladie, il y a un événement vécu dramatiquement par la personne. La mise en maladie se déclenche en un instant, lors du choc, et selon le sens subjectif attribué par la personne à ce qui (lui) arrive.
L’émotion résultant de ce choc aura une coloration, une tonalité, précise qui déterminera l’interpétation conflictuelle faite par la biologie. La somatisation du choc sera alors l’expression codée biologiquement de ce que le mal a dit, c’est-à-dire la souffrance qui n’aura pas été dite.

(suite…)

Continuer la lectureLa maladie : un signal à décoder (www.psychobiotherapie.com)

L’hypnose et l’inconscient (www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Thérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – fév. 2010)


L’inconscient est inconscient, parce que c’est l’inconscient.

[ Carl Gustav Jung ]

Si nous avons besoin de notre capacité de jugement, nous n’en avons pas besoin partout, pour tout et tout le temps. Or, force est de constater qu’il se mêle de tout, et souvent, à notre insu. Nous y sommes tellement habitués que nous ne le remarquons même plus.

Inconscient, jugement et hypnose

« Fais ceci », « Fais pas cela », « Ça c’est bon, mais pas ça », « Il est dangereux de… » excès de « prudence », opinions « téléchargées », « définitives » et sclérosantes…
La voix de la loi – le sur-moi des psychanalystes – si elle a une fonction structurante, implique aussi un prix à payer : notre liberté, notre audace, notre curiosité et notre élan vital d’expérimenter, de se réaliser, bref, de se découvrir.

Notre « jugement », forgé entre l’enclume de notre milieu socio-culturel et le marteau des valeurs familiales, a acquis une forme qui rend difficile de démêler ce-qui-est-vraiment-moi de ce-que-mon-environnement-voulait-que-je-sois.
Notre inconscient, fondamentalement bienveillant – il ne veut que notre bien – se voit souvent intimer l’ordre de se faire oublier afin d’autoriser la vie sociale, nous rendre acceptable. « L’inconscient est inconscient, parce que c’est l’inconscient » disait malicieusement, mais justement, Carl Gustav Jung.
(suite…)

Continuer la lectureL’hypnose et l’inconscient (www.psychobiotherapie.com)

Douleur et hypnose (www.psychobiotherapie.com)

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – fév. 2010 – auteur : Jean-Philippe Dumoulin)

La douleur est un mécanisme complexe.

Son but premier est l’alerte : quelque chose ne va pas dans l’organisme. Elle peut être provoquée par de multiples causes que nous ne détaillerons pas de manière exhaustive. Elle permet à la personne d’arrêter un geste (fracture, entorse…), de protéger une zone de son corps (brûlure, coupure…), de demander un diagnostic et l’aide de la médecine (pathologies diverses). En regard de cet effet salutaire, elle peut induire des comportements de protection indûment prolongés et provoquer des mécanismes d’évitement aussi bien au niveau physique (en créant de nouvelles douleurs dues à de mauvaises positions) qu’au niveau psychologique (de peur de revivre des situations déclenchantes).

La douleur est une construction à plusieurs étages qui se compose du souvenir de la douleur passée, de la douleur présente, et de l’anticipation de la douleur à venir.

(suite…)

Continuer la lectureDouleur et hypnose (www.psychobiotherapie.com)

Un réajustement au réel : la maladie(www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Thérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – fév. 2010 – auteur : Christian Flèche)

De formation paramédicale (Infirmier D. E.), Christian Flèche aborde la maladie sous l’angle de la biologie, et non de la psychologie. Maître-Praticien en PNL, Praticien en Métaphore, écrivain (‘Mon corps pour me guérir’, ‘Décodage Biologique des Maladies’ ; ‘le Roy se crée’, ‘L’instant de la guérison’, éd. Le Souffle d’Or.), psycho-Bio-Thérapeute, formateur depuis des années dans le domaine de la thérapie et du Décodage Biologique des Maladies, c’est avant tout un chercheur de sens, explorateur des nouveaux chemins de la guérison, mêlant la simplicité du modèle PNL (structure de l’expérience et du changement) et sa connaissance du corps humain (qu’est que la maladie apporte de plus à la physiologie ?). Il utilise l’hypnose éricksonienne, les cycles biologiques mémorisés découverts par Marc Fréchet et la psychogénéalogie. Son site : www.biodecodage.com.

Croyance, croyances !

Je voudrais souligner d’emblée que le décodage biologique des maladies repose sur un paradigme de base nouveau, autrement dit un nouveau système de pensée, de croyances, une autre manière d’aborder la question de la maladie.

(suite…)

Continuer la lectureUn réajustement au réel : la maladie(www.psychobiotherapie.com)

Les transversales de la guérison (www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Thérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mars 2010 – auteurs : Christian Flèche & Philippe Lévy)

Christian Flèche est Infirmier D. E., thérapeute, Master en P. N. L., chercheur des nouveaux chemins de la thérapie, praticien en Métaphores et formateur pluridisciplinaire. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur le Bio-décodage dont « Mon corps pour me guérir », « Décodage biologique des maladies »… aux éditions le Souffle d’Or.
Philippe Lévy était Heilpratiker, ostéopathe et formateur en thérapies psycho-corporelles et en Bio-Décodage. Il a mis en place de nouveaux modèles de thérapie afin de faire de nos limites un tremplin vers de nouvelles expériences. Il est l’auteur de « Décodez votre sexualité » aux éditions le Souffle d’Or et co-auteur, avec Christian Flèche des « Protocoles du retour à la santé » aux éditions le Souffle d’Or.

Les transversales de la guérison ou les ingrédients d’une thérapie efficace

Lorsque nous nous sommes rencontrés, nous avons commencé à explorer des particularités assez spécifiques ; tous les deux, nous connaissions la théorie du décodage biologique mais, notre réalité quotidienne en tant que praticiens nous demandait d’aller plus loin. Notre recherche, notre partenariat s’est organisé autour de cela ; passer de la théorie à la pratique. Il nous fallait être encore plus opérationnels afin de défaire, concrètement, le conflit de chacun. Voilà l’essentiel qui nous a habité. C’est alors que nous avons écrit ensemble l’ouvrage Protocoles de retour à la santé car nous avons voulu mettre par écrit le résultat de six ans de pratique commune.

L’objectif du thérapeute est, avant tout, de mettre en lumière le processus de guérison. Pour comprendre la guérison, il faut pleinement intégrer ce que sont l’entrée en maladie et le passage à la guérison.

Nous vous proposons d’aborder ici les six critères de guérison que des chercheurs ont mis en évidence.

(suite…)

Continuer la lectureLes transversales de la guérison (www.psychobiotherapie.com)

De l’espace thérapeutique (www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Thérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mai 2010)
La thérapie est une expérience qui se passe dans le consultant en présence de son thérapeute. Il s’agit de changer de référentiel, d’accepter la surprise – si l’on est pris par un symptôme -, de passer à un autre niveau, celui de la sur-prise, pour se retrouver au-delà de là où l’on se croit être. Je ne suis pas soit « malade », soit « en bonne santé ». Mais, je suis… avec, « en ce moment », certains symptômes qui, s’ils me paraissent inquiétants (…), me parlent de moi et de ma vie.
Cela se passe en moi, et en thérapie, c’est bien de « moi » qu’il s’agit.

Inspiré de l’article « Il n’y a pas de thérapeute, juste des thérapies » paru dans le numéro 26 de « Causes & Sens ».
(SUITE de
La thérapie : une co-création)

L’espace de l’artifice

Comme pour ce fameux test-énigme des neufs points à relier de quatre traits droits sans lever le crayon. Le patient expose son « problème » (les neuf points en carré). Le thérapeute fournit le crayon. Mais, qui va imaginer d’ajouter deux points supplémentaires, en dehors de ce qui semble imposer les limites du possible, à ces neuf qui, paradoxalement, ne donnent rien de neuf ? Le patient tourne carrément en rond ; inconsciemment se rejoue en boucle le scénario qui cherche une solution libératrice du stress.

Et si le propos de la thérapie n’était que de sortir du cadre, justement ? Passer de l’artificiel au réel, à la vie.
L’artificiel, c’est le cadre thérapeutique, mais, aussi, la maladie. Car, la maladie est engendrée par nos illusions, notre inconscience : enfermé dans mes croyances, je ne vois pas comment m’adapter à ce qui m’arrive et suis agi de l’intérieur, par ma biologie qui réagit selon un programme exceptionnel de survie.
Selon le décodage biologique, il y a réaction (ça re-agit) en fonction de solutions mémorisées dans notre biologie durant l’Évolution. La définition nouvelle de l’espace permet la co-création d’un artifice en conscience (l’instant thérapeutique) pour contre-carrer l’artifice qui alimente inconsciemment le symptôme : la persistance de la cause du stress.
Alors, la guérison comme un feu d’artifice(s) ?

(suite…)

Continuer la lectureDe l’espace thérapeutique (www.psychobiotherapie.com)

Mémoire cellulaire d’adaptation et symptôme

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – juin 2010)

Le décodage biologique adopte un point de vue inhabituel face à la maladie. En se plaçant sciemment du côté de ce que l’on qualifie communément de mal (le mal-a-dit), il devient possible de comprendre de l’intérieur ce qu’apporte le symptôme. Le présupposé est que l’intention sous-jacente est bienveillante – ne dit-on pas que « l’enfer est pavé de bonnes intentions » ?
Changer d’attitude vis-à-vis de ce qui nous arrive, nous donne à voir la motivation profonde, sous les apparences – l’effet maladif. Une motivation qui, au-delà de notre dysfonctionnement, par la voix de nos cellules, nous parle de vie.


L’homme est une mémoire qui agit.

[ Henri Laborit ]

Pourquoi parler de « décodage biologique des maladies », de « décodage cellulaire » ou de « bio-décodage » ?

Ces différentes appellations évoquent une réalité qui dépasse l’expression pour la désigner. Il s’agit surtout de comprendre qu’il se passe quelque chose dans la cellule dont le fonctionnement ne correspond plus à la norme. Il n’est pas pour autant question d’erreur ou de dérèglement, d’un n’importe quoi. Un événement qui a été vécu comme dramatique, disons un stress, provoque une réaction. Cette réaction, dans certains cas extrêmes, est la maladie.

Du point de vue du « décodage », on envisage ce dysfonctionnement comme une adaptation à une situation perçue comme déstabilisante. C’est pourquoi on parlera, à propos de la « maladie », d’une solution d’adaptation biologique ; biologique, qu’on pourra traduire littéralement : qui suit la logique de la vie.
La personne atteinte par cette « solution » pourra, a priori, ­n’y voir qu’un mal à éradiquer. Eh oui, c’est désagréable, incapacitant, fatigant etc. C’est qu’il n’est question que de solution transitoire, destinée à faire gagner du temps. La résolution du problème est reléguée à plus tard. Si cette option épargne le cerveau – le stress excessif étant le plus grand danger -, elle coûte cher à l’organisme ; un compromis, même s’il fait un bon parapluie, reste un mauvais toit. (suite…)

Continuer la lectureMémoire cellulaire d’adaptation et symptôme

Le symptôme : une adaptation biologique à un ressenti émotionnel

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – juin 2010)

En cas de stress intense et selon certaines conditions heureusement exceptionnelles, notre cerveau délègue la tâche de résoudre la difficulté, à la sagacité très relative de nos cellules. La manière dont est perçu le danger orientera le choix des cellules chargées d’y remédier. Cependant, fortes de milliards d’années d’évolution, nos cellules n’ont à leur disposition que des solutions biologiques d’adaptation qui réagissent de façon apparemment inadaptée aux aléas de notre vie moderne de plus en plus éloignée de la vie naturelle. Cette solution adaptative exceptionnelle est souvent ce que l’on appelle la maladie.

 

Le symptôme est une modalité d’écriture, un message codé, un hiéroglyphe de l’âme.

[ Dr. Serge Tribolet ]

À conflit biologique archaïque, solution d’adaptation biologique archaïque

La cellule puise dans son patrimoine biologique une réponse : le symptôme, sorte de sur-adaptation ou programme d’urgence. Ce pourra être : faire un surplus de cellules pour produire davantage, augmenter une sécrétion ou combler un manque, nécroser pour éliminer un excès etc.

Une solution est donc mise en œuvre, qui correspond à l’interprétation cellulaire de la situation. Il y a « codage biologique » de la réponse. Ça passe dans le corps. Ça se somatise. Un symptôme apparaît. (suite…)

Continuer la lectureLe symptôme : une adaptation biologique à un ressenti émotionnel

FORMATION : « Les Bases du Décodage Biologique » sur Carcassonne

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – août 2010)

Si quelqu’un me guérit et me retire mon mal, j’entends aussi qu’il me hisse au niveau de conscience que j’aurais atteint si j’avais moi-même résolu ce que ce mal devait m’apprendre.
Sinon, s’il me laisse dans le même état de conscience après m’avoir retiré mon mal, il me vole l’outil de ma croissance que peut être ma maladie.

[ Yvan Amar ]

Le décodage biologique est une nouvelle approche de la santé.
À partir de l’observation du vivant et de ses mécanismes, il permet de relier un symptôme à son origine émotionnelle – le symptôme étant la manifestation corporelle codée d’un ressenti émotionnel qui n’a pu s’exprimer autrement. Le décodage biologique amène à une forme de thérapie brève
(la psycho-bio-thérapie) qui a pour originalité de s’appuyer sur la fonction biologique de chaque organe afin de trouver le sens puis l’origine de chaque maladie. Thérapie émotionnelle, immédiate, qui, en court-circuitant le mental, permet de contacter à nouveau nos besoins fondamentaux, si simples, naturels mais refoulés.

Premiers stages de formation au bio-décodage dans le Sud-Ouest

Ces stages, autant théoriques que pratiques, vous permettront d’apprendre à mettre du sens à ce qui vous arrive, en expérimentant par des exercices simples :

  • l’écoute biologique,
  • le ressenti émotionnel,
  • le lien corps-psychisme,
  • l’accès à vos ressources,
  • des protocoles de changement.

Ils sont ouverts à tous, praticiens de santé, de relation d’aide ou personnes ayant soif de mieux se connaître.

Ces stages ne sont ni de la thérapie de groupe ni une formation passive et intellectuelle à but uniquement « culturel ».
Pour ceux qui le souhaitent, ils peuvent devenir l’occasion d’approfondir la connaissance de soi de manière pratique et concrète, dans le respect et la bienveillance les uns des autres.

(suite…)

Continuer la lectureFORMATION : « Les Bases du Décodage Biologique » sur Carcassonne