Il n’y a pas plus de patient-objetque de thérapeute-technicien
« L'être humain n'est pas un objet, mais un être qui choisit son destin. Dans les limites de ses dons naturels et de son environnement, il est responsable de ce qu'il…
Réactions impromptues sur ce qui interpelle le « thérapeute » en soi ou questionne la démarche thérapeutique.
« L'être humain n'est pas un objet, mais un être qui choisit son destin. Dans les limites de ses dons naturels et de son environnement, il est responsable de ce qu'il…
Je viens de découvrir un auteur, Jean-François Billeter, hier soir à la radio, qui parle, dans l'un de ses derniers ouvrages, Une autre Aurélia, d’une façon très pertinente d’un juste…
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – fév. 2010)
«Inconscient» signifie ce qui s’énonce à l’insu du sujet.
[ Vincent Descombes – L’Inconscient malgré lui (1977) ]
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – fév. 2010 – auteur : Jean-Philippe Dumoulin)
Son but premier est l’alerte : quelque chose ne va pas dans l’organisme. Elle peut être provoquée par de multiples causes que nous ne détaillerons pas de manière exhaustive. Elle permet à la personne d’arrêter un geste (fracture, entorse…), de protéger une zone de son corps (brûlure, coupure…), de demander un diagnostic et l’aide de la médecine (pathologies diverses). En regard de cet effet salutaire, elle peut induire des comportements de protection indûment prolongés et provoquer des mécanismes d’évitement aussi bien au niveau physique (en créant de nouvelles douleurs dues à de mauvaises positions) qu’au niveau psychologique (de peur de revivre des situations déclenchantes).
La douleur est une construction à plusieurs étages qui se compose du souvenir de la douleur passée, de la douleur présente, et de l’anticipation de la douleur à venir.
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mai 2010)
Et si la dysfonction n’était que dans le regard de l’observateur… pas si neutre qu’il se (com)plaît à le croire ?
Une fable permet parfois de mieux saisir la réalité, laquelle est souvent autre ou moins évidente que ce qu’a priori nous le croyions.
(Texte paru dans le numéro 27 de la revue « Causes & Sens », première revue trimestrielle de décodage biologique)
Il était une fois, un village peuplé de gens et de fous.
Les fous, conformément à l’avis unanime, étaient enfermés dans un bâtiment : le pavillon des fous.
Les gens vivaient en liberté. Du moins, le croyaient-ils.
Parfois, des gens devenaient fous – c’est ce qu’il se disait.
Alors, les autres, les isolaient dans des cellules au pavillon des fous.
Tout était normal.
Ce qui demeurait étonnant, une énigme pour certains, c’était comment les gens pas fous le devenaient, subitement.
(suite…)
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mai 2010)
Le bio-décodage nous apprend que la mise en maladie apparaît en un instant, le biochoc. Son pendant lumineux, résultat d’un processus thérapeutique, est l’instant CLÉ (cf. L’instant de la guérison de C. Flèche & J-J. Lagardet – Le Souffle d’Or éditeur). À la notion de masse conflictuelle, qui veut que plus un ressenti émotionnel est intense et/ou durable, plus l’impact sera important en termes de symptôme, je propose ici, la masse critique de guérison, accumulation résolutive qui amène le « malade » à dépasser le seuil conditionnant son retour à un bien-être, au mieux-être.
Le questionnement demeure, cependant : Qu’est-ce qui fait que l’on guérit ? Où se situe la thérapie ? Quelle est l’importance du thérapeute ?
Inspiré de l’article « Il n’y a pas de thérapeute, juste des thérapies » paru dans le numéro 26 de « Causes & Sens« .
(Suivi par De l’espace thérapeutique)
La vie est thérapeutique. La « Providence » s’arrange pour nous confronter à ce qui pourra nous faire avancer dans ce que nous avons à vivre. C’est en ce sens que Milton H. Erickson affirmait : « le thérapeute n’a aucune importance » – sans importance ne signifie pas inutilité. Il lui appartient d’accepter d’être sans pouvoir – « Je le pansay, Dieu le guarist (Je le pansai et Dieu le guérit) » disait Ambroise Paré (1509-1590).
(suite…)
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – août 2011)
Voici, présentée sous forme d’un échange entre le consultant et sa thérapeute (en l’occurrence Madame DUBOIS de Perpignan), une façon originale d’aborder un cas d’allergie au cyprès. On remarque l’utilisation d’une métaphore où le sujet donne des rôles aux éléments présents dans ses souvenirs – notamment, les arbres -, sur lesquels il peut projeter les différentes parties de lui qui interagissent dans son problème allergique. S’ensuit une prise de conscience qui, ici, sera déterminante dans le processus de guérison de la personne.
L’imagination au service du mieux-être !(NB un atelier de travail sur soi ayant pour thème l’allergie est proposé, en octobre sur Carcassonne : cliquer ici)
Consultation dans le cabinet du thérapeute pour une ALLERGIE au « CYPRES » (arbre poussant surtout dans le Midi de la France et planté notamment en bordure des cimetières) et aux platanes.
ALLERGIE – étymologie : du grec Allos (autre) et Ergon (réaction)
J’ai reçu dernièrement un mail d’une personne m’ayant choisi comme thérapeute.
Après avoir rédigé une réponse assez étoffée, je terminai par : « (…) ce que vous évoquez est extrêmement courant et pourrait intéresser d’autres personnes en recherche comme vous d’une détente plus efficace dans leur façon d’être. Je mettrai peut-être votre questionnement (de façon anonyme !) et ma réponse sur mon site. Cela pourra les éclairer... »
Or donc, voici l’essentiel de l’interrogation à propos de nos séances, suivie de mon retour :
« Est-il possible que ça fasse remonter certains souvenirs à la surface ?
Depuis quelques temps je ne fais que penser à mon ancien patron et je ne comprends pas pourquoi.
J’ai toujours cette peur de me faire virer.
Je me mets énormément de pression de vouloir bien faire également, et après je fais l’inverse.
J’ai l’impression qu’en ce moment je me bloque moi-même et je ne comprends pas pourquoi. » (suite…)
Nombreux sont celles et ceux qui cherchent à mincir grâce à l'hypnose. Quand on change en soi, notre corps (qui est soi) change aussi. La perte de poids est un des changements possibles...
L'état hypnotique nous replace dans la pleine possession de notre potentiel. Il nous reconnecte à TOUT NOTRE POUVOIR.