Le Pavillon des fous – conte bio-métaphorique

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:HumeurVrac

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mai 2010)

Et si la dysfonction n’était que dans le regard de l’observateur… pas si neutre qu’il se (com)plaît à le croire ?
Une fable permet parfois de mieux saisir la réalité, laquelle est souvent autre ou moins évidente que ce qu’a priori nous le croyions.
(Texte paru dans le numéro 27 de la revue « Causes & Sens », première revue trimestrielle de décodage biologique)

Il était une fois, un village peuplé de gens et de fous.

Les fous, conformément à l’avis unanime, étaient enfermés dans un bâtiment : le pavillon des fous.

Les gens vivaient en liberté. Du moins, le croyaient-ils.

Parfois, des gens devenaient fous – c’est ce qu’il se disait.

Alors, les autres, les isolaient dans des cellules au pavillon des fous.
Tout était normal.
Ce qui demeurait étonnant, une énigme pour certains, c’était comment les gens pas fous le devenaient, subitement.
(suite…)

Continuer la lectureLe Pavillon des fous – conte bio-métaphorique

La thérapie, une co-création (www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:HumeurThérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mai 2010)

Le bio-décodage nous apprend que la mise en maladie apparaît en un instant, le biochoc. Son pendant lumineux, résultat d’un processus thérapeutique, est l’instant CLÉ (cf. L’instant de la guérison de C. Flèche & J-J. Lagardet – Le Souffle d’Or éditeur). À la notion de masse conflictuelle, qui veut que plus un ressenti émotionnel est intense et/ou durable, plus l’impact sera important en termes de symptôme, je propose ici, la masse critique de guérison, accumulation résolutive qui amène le « malade » à dépasser le seuil conditionnant son retour à un bien-être, au mieux-être.
Le questionnement demeure, cependant : Qu’est-ce qui fait que l’on guérit ? Où se situe la thérapie ? Quelle est l’importance du thérapeute ?

Inspiré de l’article « Il n’y a pas de thérapeute, juste des thérapies » paru dans le numéro 26 de « Causes & Sens« .
(Suivi par
De l’espace thérapeutique)

Le grain de sel contre le grain de sable

La vie est thérapeutique. La « Providence » s’arrange pour nous confronter à ce qui pourra nous faire avancer dans ce que nous avons à vivre. C’est en ce sens que Milton H. Erickson affirmait : « le thérapeute n’a aucune importance » – sans importance ne signifie pas inutilité. Il lui appartient d’accepter d’être sans pouvoir – « Je le pansay, Dieu le guarist (Je le pansai et Dieu le guérit) » disait Ambroise Paré (1509-1590).
(suite…)

Continuer la lectureLa thérapie, une co-création (www.psychobiotherapie.com)

De l’espace thérapeutique (www.psychobiotherapie.com)

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Thérapie

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – mai 2010)
La thérapie est une expérience qui se passe dans le consultant en présence de son thérapeute. Il s’agit de changer de référentiel, d’accepter la surprise – si l’on est pris par un symptôme -, de passer à un autre niveau, celui de la sur-prise, pour se retrouver au-delà de là où l’on se croit être. Je ne suis pas soit « malade », soit « en bonne santé ». Mais, je suis… avec, « en ce moment », certains symptômes qui, s’ils me paraissent inquiétants (…), me parlent de moi et de ma vie.
Cela se passe en moi, et en thérapie, c’est bien de « moi » qu’il s’agit.

Inspiré de l’article « Il n’y a pas de thérapeute, juste des thérapies » paru dans le numéro 26 de « Causes & Sens ».
(SUITE de
La thérapie : une co-création)

L’espace de l’artifice

Comme pour ce fameux test-énigme des neufs points à relier de quatre traits droits sans lever le crayon. Le patient expose son « problème » (les neuf points en carré). Le thérapeute fournit le crayon. Mais, qui va imaginer d’ajouter deux points supplémentaires, en dehors de ce qui semble imposer les limites du possible, à ces neuf qui, paradoxalement, ne donnent rien de neuf ? Le patient tourne carrément en rond ; inconsciemment se rejoue en boucle le scénario qui cherche une solution libératrice du stress.

Et si le propos de la thérapie n’était que de sortir du cadre, justement ? Passer de l’artificiel au réel, à la vie.
L’artificiel, c’est le cadre thérapeutique, mais, aussi, la maladie. Car, la maladie est engendrée par nos illusions, notre inconscience : enfermé dans mes croyances, je ne vois pas comment m’adapter à ce qui m’arrive et suis agi de l’intérieur, par ma biologie qui réagit selon un programme exceptionnel de survie.
Selon le décodage biologique, il y a réaction (ça re-agit) en fonction de solutions mémorisées dans notre biologie durant l’Évolution. La définition nouvelle de l’espace permet la co-création d’un artifice en conscience (l’instant thérapeutique) pour contre-carrer l’artifice qui alimente inconsciemment le symptôme : la persistance de la cause du stress.
Alors, la guérison comme un feu d’artifice(s) ?

(suite…)

Continuer la lectureDe l’espace thérapeutique (www.psychobiotherapie.com)

Mémoire cellulaire d’adaptation et symptôme

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – juin 2010)

Le décodage biologique adopte un point de vue inhabituel face à la maladie. En se plaçant sciemment du côté de ce que l’on qualifie communément de mal (le mal-a-dit), il devient possible de comprendre de l’intérieur ce qu’apporte le symptôme. Le présupposé est que l’intention sous-jacente est bienveillante – ne dit-on pas que « l’enfer est pavé de bonnes intentions » ?
Changer d’attitude vis-à-vis de ce qui nous arrive, nous donne à voir la motivation profonde, sous les apparences – l’effet maladif. Une motivation qui, au-delà de notre dysfonctionnement, par la voix de nos cellules, nous parle de vie.


L’homme est une mémoire qui agit.

[ Henri Laborit ]

Pourquoi parler de « décodage biologique des maladies », de « décodage cellulaire » ou de « bio-décodage » ?

Ces différentes appellations évoquent une réalité qui dépasse l’expression pour la désigner. Il s’agit surtout de comprendre qu’il se passe quelque chose dans la cellule dont le fonctionnement ne correspond plus à la norme. Il n’est pas pour autant question d’erreur ou de dérèglement, d’un n’importe quoi. Un événement qui a été vécu comme dramatique, disons un stress, provoque une réaction. Cette réaction, dans certains cas extrêmes, est la maladie.

Du point de vue du « décodage », on envisage ce dysfonctionnement comme une adaptation à une situation perçue comme déstabilisante. C’est pourquoi on parlera, à propos de la « maladie », d’une solution d’adaptation biologique ; biologique, qu’on pourra traduire littéralement : qui suit la logique de la vie.
La personne atteinte par cette « solution » pourra, a priori, ­n’y voir qu’un mal à éradiquer. Eh oui, c’est désagréable, incapacitant, fatigant etc. C’est qu’il n’est question que de solution transitoire, destinée à faire gagner du temps. La résolution du problème est reléguée à plus tard. Si cette option épargne le cerveau – le stress excessif étant le plus grand danger -, elle coûte cher à l’organisme ; un compromis, même s’il fait un bon parapluie, reste un mauvais toit. (suite…)

Continuer la lectureMémoire cellulaire d’adaptation et symptôme

Le symptôme : une adaptation biologique à un ressenti émotionnel

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – juin 2010)

En cas de stress intense et selon certaines conditions heureusement exceptionnelles, notre cerveau délègue la tâche de résoudre la difficulté, à la sagacité très relative de nos cellules. La manière dont est perçu le danger orientera le choix des cellules chargées d’y remédier. Cependant, fortes de milliards d’années d’évolution, nos cellules n’ont à leur disposition que des solutions biologiques d’adaptation qui réagissent de façon apparemment inadaptée aux aléas de notre vie moderne de plus en plus éloignée de la vie naturelle. Cette solution adaptative exceptionnelle est souvent ce que l’on appelle la maladie.

 

Le symptôme est une modalité d’écriture, un message codé, un hiéroglyphe de l’âme.

[ Dr. Serge Tribolet ]

À conflit biologique archaïque, solution d’adaptation biologique archaïque

La cellule puise dans son patrimoine biologique une réponse : le symptôme, sorte de sur-adaptation ou programme d’urgence. Ce pourra être : faire un surplus de cellules pour produire davantage, augmenter une sécrétion ou combler un manque, nécroser pour éliminer un excès etc.

Une solution est donc mise en œuvre, qui correspond à l’interprétation cellulaire de la situation. Il y a « codage biologique » de la réponse. Ça passe dans le corps. Ça se somatise. Un symptôme apparaît. (suite…)

Continuer la lectureLe symptôme : une adaptation biologique à un ressenti émotionnel

FORMATION : « Les Bases du Décodage Biologique » sur Carcassonne

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – août 2010)

Si quelqu’un me guérit et me retire mon mal, j’entends aussi qu’il me hisse au niveau de conscience que j’aurais atteint si j’avais moi-même résolu ce que ce mal devait m’apprendre.
Sinon, s’il me laisse dans le même état de conscience après m’avoir retiré mon mal, il me vole l’outil de ma croissance que peut être ma maladie.

[ Yvan Amar ]

Le décodage biologique est une nouvelle approche de la santé.
À partir de l’observation du vivant et de ses mécanismes, il permet de relier un symptôme à son origine émotionnelle – le symptôme étant la manifestation corporelle codée d’un ressenti émotionnel qui n’a pu s’exprimer autrement. Le décodage biologique amène à une forme de thérapie brève
(la psycho-bio-thérapie) qui a pour originalité de s’appuyer sur la fonction biologique de chaque organe afin de trouver le sens puis l’origine de chaque maladie. Thérapie émotionnelle, immédiate, qui, en court-circuitant le mental, permet de contacter à nouveau nos besoins fondamentaux, si simples, naturels mais refoulés.

Premiers stages de formation au bio-décodage dans le Sud-Ouest

Ces stages, autant théoriques que pratiques, vous permettront d’apprendre à mettre du sens à ce qui vous arrive, en expérimentant par des exercices simples :

  • l’écoute biologique,
  • le ressenti émotionnel,
  • le lien corps-psychisme,
  • l’accès à vos ressources,
  • des protocoles de changement.

Ils sont ouverts à tous, praticiens de santé, de relation d’aide ou personnes ayant soif de mieux se connaître.

Ces stages ne sont ni de la thérapie de groupe ni une formation passive et intellectuelle à but uniquement « culturel ».
Pour ceux qui le souhaitent, ils peuvent devenir l’occasion d’approfondir la connaissance de soi de manière pratique et concrète, dans le respect et la bienveillance les uns des autres.

(suite…)

Continuer la lectureFORMATION : « Les Bases du Décodage Biologique » sur Carcassonne