La TSA – thérapie par stimulation alternée (www.psychobiotherapie.com)
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com - jan. 2010) Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse? Faites-vous de ce monde un songe sans réveil. [ La Coupe et les…
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com - jan. 2010) Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse? Faites-vous de ce monde un songe sans réveil. [ La Coupe et les…
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com - jan. 2010) Ne vous occupez donc pas de votre famille ! On n'arrive jamais à la satisfaire. [ Jules Renard ] Parce que nous…
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com - jan. 2010) La psycho-bio-thérapie est une discipline issue de la rencontre entre la thérapie brève et le décodage biologique. D'autres apports, principalement thérapeutiques, viennent…
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com - jan. 2010) On ne peut guérir la partie sans soigner le tout. On ne doit pas soigner le corps séparé de l'âme, et…
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – août 2011)
Voici, présentée sous forme d’un échange entre le consultant et sa thérapeute (en l’occurrence Madame DUBOIS de Perpignan), une façon originale d’aborder un cas d’allergie au cyprès. On remarque l’utilisation d’une métaphore où le sujet donne des rôles aux éléments présents dans ses souvenirs – notamment, les arbres -, sur lesquels il peut projeter les différentes parties de lui qui interagissent dans son problème allergique. S’ensuit une prise de conscience qui, ici, sera déterminante dans le processus de guérison de la personne.
L’imagination au service du mieux-être !(NB un atelier de travail sur soi ayant pour thème l’allergie est proposé, en octobre sur Carcassonne : cliquer ici)
Consultation dans le cabinet du thérapeute pour une ALLERGIE au « CYPRES » (arbre poussant surtout dans le Midi de la France et planté notamment en bordure des cimetières) et aux platanes.
ALLERGIE – étymologie : du grec Allos (autre) et Ergon (réaction)
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – août 2011)
Atelier ouvert à tous, animé par Jacques Denys et Benoît le Corvoisier (thérapeutes en Décodage biologique® et Psycho-bio-thérapie, formés par Christian Flèche).
2 jours de stage pratique
pour aider à
détailler,
comprendre
et se libérer
de la réaction allergique
Tous ces symptômes allergiques, dont le mécanisme physiopathologique est de mieux en mieux connu et que la médecine traite avec de plus en plus de succès, peuvent nous en apprendre davantage sur nous-même grâce au Décodage biologique®.
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – sept. 2011)
En 2007 est annoncé à un homme qu’il est atteint d’un cancer de grade 4, le plus élevé.
Tristement banal.
Cet homme s’entendra dire par son oncologue en 2008 : Je ne sais pas ce que vous avez fait mais ça a marché !
Plus original…
Cette personne est un psychanalyste très actif et médiatique – Guy Corneau – qui couchera sur le papier cette traversée, avec ses doutes, ses déprimes et ses découvertes, dans un livre paru cette année : Revivre !
Selon sa conviction et son expérience, au-delà de toute théorie ou velléité de donner des leçons, il nous détaille son cocktail anti-cancer, un panachage qui lui a permis de guérir : réalisme sans complaisance (on ne peut guérir de quelque chose qu’on veut ne pas avoir – « Notre transformation intérieure commence ainsi par un face-à-face honnête avec nous-mêmes. » p. 176), volonté entretenue et démarche active tous azimuts, incluant entre autres du Décodage biologique.
Bien sûr, il s’agit du témoignage d’une personne qui n’est pas Monsieur Tout-le-monde. Et ce qu’il préconise indirectement – il ne prétend pas avoir raison, mais il s’en est sorti… – n’est pas une recette que tout un chacun sera à même de reproduire. La voie de la guérison est une voie de « guerrier » (cf. le Dr. Carl Simonton). Celles et ceux qui ont vaincu leur cancer seraient tous des « battants ».
Où il apparaît que la seule volonté ne suffirait peut-être pas ?
(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – déc. 2010)
Les progrès médicaux nous apportent un réel confort pour vivre nos maladies. Mais entre les annonces « marketing » du business pharmaco-médical – ah, la pandémie H1N1 ! – et les prodiges spectaculaires des techniques de pointe, le malade s’interroge. Il se sent de moins en moins écouté par des praticiens de terrain souvent débordés par la pesanteur administrative d’un système de santé dont la préoccupation comptable semble avoir exclu le facteur humain.
Pourquoi moi, maintenant et pourquoi cette maladie ?
Lorsque l’arsenal médical parvient à ce que mes symptômes disparaissent, suis-je vraiment guérie(e) ?
Questions légitimes auxquelles les réponses évasives de notre médecin – quand il en donne – n’apportent qu’un soulagement très relatif et insatisfaisant : le terrain, si cher à Claude Bernard ? L’hérédité (c’est génétique ! Ah ?)…
Ça va, ça vient, sans raison. C’est la faute à pas de chance. Plus ou moins, le hasard en somme.
Mais, le doute persiste. Si c’est génétique, pourquoi de vrais jumeaux n’ont-ils pas la même qualité de santé ? Pourquoi des enfants adoptés prennent-ils les maladies de leurs parents adoptifs de préférence à celles de leurs géniteurs ?
La maladie serait-elle facétieuse ?
Et si nos maladies n’étaient pas cette fatalité nécessitant l’aliénation de notre corps à la machine sans âme du « tout chimique » ?
Si, au lieu de s’acharner à combattre nos maux sans réfléchir, nous nous mettions à l’écoute de ce que la vie nous raconte avec ses mots ?
J’ai reçu dernièrement un mail d’une personne m’ayant choisi comme thérapeute.
Après avoir rédigé une réponse assez étoffée, je terminai par : « (…) ce que vous évoquez est extrêmement courant et pourrait intéresser d’autres personnes en recherche comme vous d’une détente plus efficace dans leur façon d’être. Je mettrai peut-être votre questionnement (de façon anonyme !) et ma réponse sur mon site. Cela pourra les éclairer... »
Or donc, voici l’essentiel de l’interrogation à propos de nos séances, suivie de mon retour :
« Est-il possible que ça fasse remonter certains souvenirs à la surface ?
Depuis quelques temps je ne fais que penser à mon ancien patron et je ne comprends pas pourquoi.
J’ai toujours cette peur de me faire virer.
Je me mets énormément de pression de vouloir bien faire également, et après je fais l’inverse.
J’ai l’impression qu’en ce moment je me bloque moi-même et je ne comprends pas pourquoi. » (suite…)
Dimanche 26 mars, venez me rencontrer ainsi que d'autres thérapeutes à Ségoufielle.