Revivre ! Itinéraire d’un « rescapé » du cancer

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(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – sept. 2011)

En 2007 est annoncé à un homme qu’il est atteint d’un cancer de grade 4, le plus élevé.
Tristement banal.
Cet homme s’entendra dire par son oncologue en 2008 : Je ne sais pas ce que vous avez fait mais ça a marché !
Plus original…

Cette personne est un psychanalyste très actif et médiatique – Guy Corneau – qui couchera sur le papier cette traversée, avec ses doutes, ses déprimes et ses découvertes, dans un livre paru cette année : Revivre !

Selon sa conviction et son expérience, au-delà de toute théorie ou velléité de donner des leçons, il nous détaille son cocktail anti-cancer, un panachage qui lui a permis de guérir : réalisme sans complaisance (on ne peut guérir de quelque chose qu’on veut ne pas avoir – « Notre transformation intérieure commence ainsi par un face-à-face honnête avec nous-mêmes. » p. 176), volonté entretenue et démarche active tous azimuts, incluant entre autres du Décodage biologique.
Bien sûr, il s’agit du témoignage d’une personne qui n’est pas Monsieur Tout-le-monde. Et ce qu’il préconise indirectement – il ne prétend pas avoir raison, mais il s’en est sorti… – n’est pas une recette que tout un chacun sera à même de reproduire. La voie de la guérison est une voie de « guerrier » (cf. le Dr. Carl Simonton). Celles et ceux qui ont vaincu leur cancer seraient tous des « battants ».
Où il apparaît que la seule volonté ne suffirait peut-être pas ?

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Une approche originale de la genèse émotionnelle de nos maladies (article paru dans Votre Santé – n°134)

(page provenant du site www.psychobiotherapie.com – déc. 2010)

Les progrès médicaux nous apportent un réel confort pour vivre nos maladies. Mais entre les annonces « marketing » du business pharmaco-médical – ah, la pandémie H1N1 ! – et les prodiges spectaculaires des techniques de pointe, le malade s’interroge. Il se sent de moins en moins écouté par des praticiens de terrain souvent débordés par la pesanteur administrative d’un système de santé dont la préoccupation comptable semble avoir exclu le facteur humain.
Pourquoi moi, maintenant et pourquoi cette maladie ?
Lorsque l’arsenal médical parvient à ce que mes symptômes disparaissent, suis-je vraiment guérie(e) ?
Questions légitimes auxquelles les réponses évasives de notre médecin – quand il en donne – n’apportent qu’un soulagement très relatif et insatisfaisant : le terrain, si cher à Claude Bernard ? L’hérédité (c’est génétique ! Ah ?)…
Ça va, ça vient, sans raison. C’est la faute à pas de chance. Plus ou moins, le hasard en somme.
Mais, le doute persiste. Si c’est génétique, pourquoi de vrais jumeaux n’ont-ils pas la même qualité de santé ? Pourquoi des enfants adoptés prennent-ils les maladies de leurs parents adoptifs de préférence à celles de leurs géniteurs ?
La maladie serait-elle facétieuse ?
Et si nos maladies n’étaient pas cette fatalité nécessitant l’aliénation de notre corps à la machine sans âme du « tout chimique » ?
Si, au lieu de s’acharner à combattre nos maux sans réfléchir, nous nous mettions à l’écoute de ce que la vie nous raconte avec ses mots ?

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